Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Bienvenue !

  • Romain Lepetit
  • Etudiant en journalisme à l'Ecole de Journalisme de Toulouse (EJT)
  • Etudiant en journalisme à l'Ecole de Journalisme de Toulouse (EJT)

Je me présente...

Etudiant en journalisme, j'ai voulu répertorier mes articles et reportages afin de les partager.

Vous trouverez mes travaux que j'estime les plus intéressants.
Ceux-ci sont classés par catégories (musique, sport, politique, etc...).

N'hé
sitez pas à commenter et à  faire des critiques...

Vous pouvez me contacter via:
romain-lepetit@live.fr
www.twitter.com/RomainLepetit
www.facebook.com/rlepetit

Bonne visite !

Romain

Mon parcours

FORMATIONS
2009-2012
Ecole de Journalisme de Toulouse (EJT)
2008
Licence d' Histoire (Université de Rouen)
2007
Deug d'Histoire (Université de Rennes 2)
2004
Bac ES (Les Cordeliers, Dinan)

JOURNALISME
juillet 2009

Francos TV, Francofolies de La Rochelle
Morgane Prod

de sept. à déc. 2008


Dimanche+ - Nulle Part Ailleurs Production
Canal+

depuis sept. 2006


Le Télégramme
Groupe Le Télégramme

depuis fév. 2006


Le Petit Bleu et Le Pays Malouin
Groupe Publihebdos

RELATIONS PRESSE
Dj Lyubov
concerts en France, Miami, etc.
www.myspace.fr/penelopeboysrecord
19 octobre 2008 7 19 /10 /octobre /2008 13:14


Invité de l'émission Dimanche+, le sénateur socialiste Jean-Luc Mélenchon a estimé qu'il fallait pousser vers la sortie tout un personnel politique, économique, médiatique, s'en prenant nommément au directeur adjoint de la rédaction de TF1. «Prenez votre collègue Jean-Marc Sylvestre qui nous fait le catéchisme libéral depuis bientôt 10 ans, matin, midi et soir sur TF1» lâche Mélenchon.


Partager cet article
Repost0
8 octobre 2008 3 08 /10 /octobre /2008 17:27

(extrait: "L'objet du scandale", France 2)

Invitée de Dimanche+ le 5 octobre, Martine Aubry a été questionnée sur le Taser, nouveau pistolet à impulsion électrique et qui envoie sur sa cible deux dards délivrant 50.000 volts.
Lorsqu'Anne-Sophie Lapix lui a demandée si elle comptait ordonner son usage à sa police municipale, la maire de Lille a répondu:
"Non, certainement pas. Pour plusieurs raisons. D'abord, c'est dangereux. 290 morts en Amérique du Nord".
Or,  "les médecins sont catégoriques. Le Taser ne peut pas tuer", martèle le distributeur.
Du coup, Le Parisien du 6 octobre, révèle que "deux huissiers se sont présentés à la mairie pour présenter une sommation au nom de Martine Aubry " de la part de la société SMP Technologies, laquelle importe en France le Taser X-26.
En clair, la Dame des 35h bénéficie de 48h pour justifier les noms des 290 victimes dont elle a parlé. A défaut, la société menace de "la poursuivre pour diffamation et dénigrement de produit".

Partager cet article
Repost0
4 octobre 2008 6 04 /10 /octobre /2008 22:28

Attention: en aucun cas ce cliché est destiné à moquerie. De toute façon, il n'y a pas de quoi... J'ai simplement trouvé que cette dame, malgré la misère qui semble la toucher, ne manque pas d'humour en ces temps de crise financière et de scandales...

pris le Samedi 4 octobre 2008 à Paris, quartier de La Madeleine

Partager cet article
Repost0
29 septembre 2008 1 29 /09 /septembre /2008 19:10


Après le succès de l'album From Here To Here, les Belges de Girls In Hawaii reviennent tambour battant avec une tournée européenne. Accrochez-vous, l'opus Plan Your Escape appelle à l'évasion.


Quatre ans ont  passé depuis la sortie de From Here To Here, le premier album. Qu'avez-vous fait entre temps?
Brice Vancauwenberge (guitariste): "Après la longue tournée de "from here to there", on a voulu s'y remettre directement. Lionel a essayé d'enregistrer de nouvelles chansons. Mais je pense que c'était une erreur car on aurait tous eu besoin de prendre quelques mois de pause, voire même d'arrêter tout çà pendant un an et aller nourrir notre imagination et notre créativité dans la vie de tous les jours. On s'est rendu compte qu'on arrivait plus à écrire, d'où une longue période de doute et d'angoisse. Le groupe a failli splitter plusieurs fois.On a juste remis en cause tout le projet, on s'est demandé si c'était encore dans Girls In Hawaii ou dans la musique en général qu'on avait envie de s'épanouir... Voilà, pour résumer on a passé ces quatres années à boire beaucoup de cafés et fumer plein de clopes dans notre local à Bruxelles".

Comment avez-vous géré le succès inattendu de From Here To Here?
BV: "En fait, assez mal au début.Ca s'est passé trop vite pour les garçons timides que nous sommes. Mais on a commencé à prendre conscience de tout çà et enfin arriver à prendre du recul.Ca nous a tout de même mis une solide pression pour faire le deuxième album. On était mort d'angoisse avant la sortie...Un peu peur de la réaction des gens.Mais on en a profité, on est très heureux du succès qu'a eu notre petit album composé dans nos chambres....


"Found  In The Ground", Eurockéennes 2004


Plan Your Escape rompt avec ce que vous aviez fait auparavant. Si l'on ressent toujours la légèreté de la voix d'Antoine Wielemans, le son se veut généralement plus exigeant. Comme l'indique le titre de l'album, avez-vous eu l'envie de vous extraire d'un style dans lequel vous auriez pu vous enfermer?
BV:
Cet album est un journal de bord des quatres années passées depuis "from here...". On a mûrit, on a changé,on a beaucoup douté. Voilà, ça s'est simplement traduit dans notre écriture, dans notre son. Bien sûr, il y a eu une grande envie de ne pas se repeter mais c'est quelque chose qui s'est fait assez naturellement. L'album dégage une ambiance très proche de notre état d'esprit au cours de l'enregistrement. Pour le titre, ca peut vouloir dire çà et ca peut vouloir dire beaucoup de choses. Chaque membre du groupe a sa propre interprétation. C'est çà qui nous a séduit lorsque Lio a pensé à cette phrase. C'est une phrase forte, qui peut être interprétée de plusieurs manières.


A l'image du groupe, on dit que Plan Your Escape a été enregistré dans des conditions assez simples et atypiques...
BV:
Oui, on déteste l'ambiance froide que peut avoir un studio. Et surtout,on a besoin de temps, de poser les choses lors de nos enregistrements, ce qui est difficile lorsque tu as 3 semaines de
studio qui coûtent cher. Donc, on a loué deux maisons dans les Ardennes Belges. Une en janvier 2007, l'autre en août 2007...C'est parfait: pas de télé, de réseaux pour téléphones portables, personne dans la rue, des voisins lointains. C'est les conditions d'isolement qu'on recherche et on le fait dans les Ardennes car c'est un endroit où on se sent bien, pas parce que ca nous inspire. Jean Lamoot a adoré l'idée d'arriver avec tout notre matériel dans une maison meublée, de devoir commencer à chercher les pièces qui sonnent
le mieux, de commencer à tout démenager!



Le groupe a donc entamé une grande tournée européenne, avec des salles de renom comme l'Olympia et des festivals de premier rang. Des non-initiés pensent que vous êtes des filles et tout sauf des Belges! Girls In Hawaii est-il en train de franchir un cap dans sa carrière, lequel permettrait au groupe d'accéder enfin à une pleine reconnaissance?

BV: Oui, on a fait une belle et grande tournée...Je ne sais pas si on a franchi un cap, c'est difficile à dire et je dirais que ca dépend des pays. En Belgique,on a passé un cap,c'est sûr...GIH est en développement, on va essayer de se faire connaître dans un maximum de pays. Je suis mal placé pour en parler surtout qu'on essaye de pasprêter trop attention à tout çà...Une manière de nous protéger!


Infos et concerts :   http://www.myspace.com/girlsinhawaii et http://www.planyourescape.be/

Partager cet article
Repost0
25 septembre 2008 4 25 /09 /septembre /2008 22:00



Actuellement en stage de 3 mois à Canal+, au sein de la rédaction de l'émission politique "Dimanche+", je vais tout de même essayer de mettre en ligne quelques vidéos d'interviews auxquelles j'ai apporté ma petite touche personnelle. Dimanche 21 septembre, Anne-Sophie Lapix recevait Hervé Morin, ministre de la Défense, et Olivier Besancenot, porte-parole de la Ligue Communiste Révolutionnaire.

Au coeur des débats menés avec Hervé Morin, la poursuite ou non de la présence militaire française en Afghanistan un mois après l'embuscade qui a fait dix morts dans les rangs tricolores. La poursuite de la mission française sera finalement votée le lendemain par les députés, par 343 voix contre 210.
Au programme également, la réforme de la carte militaire et la controverse autour d'Alain Joyandet, secrétaite d'Etat à la Coopération, soupçonné d'avoir bénéficié d'un traitement de faveur pour le maintien d'une base aérienne dans son département de la Haute-Saône.
Le président du Nouveau Centre s'étant montré très critique à l'égard du fichier Edvige, Michèle Alliot-Marie, la ministre de l'Intérieur, l'avait gentillement renvoyé dans les cordes, le 7 septembre à l'issue du campus UMP de Royan: "Je suis ravie que M. Morin se pose des questions. La question que moi je me pose, c'est comment il se fait (...) qu'il n'ait pas réussi à trouver on numéro de téléphone pour me demander ce qu'il en était, je l'aurais rassuré".




Du côté du chef de file de la LCR, "meilleur opposant à Nicolas Sarkozy" selon les derniers sondages, les questions de l'avenir de La Poste ou encore le RSA mais aussi le Nouveau Parti Anticapitaliste et les licenciements chez Renault et GoodYear.





Partager cet article
Repost0
27 juillet 2008 7 27 /07 /juillet /2008 10:00

Crédit Photo. F. Villemin

 

Le groupe de Punk est devenu la cible des autorités bretonnes, lesquelles ont interdit plusieurs de leurs concerts. Pas de quoi décourager des Dinannais remontés contre un système. Qu’on se le dise, les "Fiottes" ne se défileront pas.

 

"C'est pas nous les méchants", se déculpabilisent Les Sarkofiottes en nommant ainsi leur premier album sorti l'an dernier. Pour les cinq trublions il faut chercher ailleurs. Et ils avaient donc eu le nez fin à la création du groupe en 2004, "baptisé" à l'aide du diminutif de l'actuel président de la République. "Baptisé"? Pardon, quelle erreur! Anti-Sarko, les Bretons sont également anti-cléricaux et ont un crucifix brisé lors d'un concert qui leur colle encore aux rangers. Ces "agités du bocal", comme ils se définissent, ont donc attisé l'hostilité des autorités et des politiques qui voient souvent d'un mauvais oeil leur arrivée dans les villes qui les accueillent, sans parler des affiches annonçant leur venue dans des bastions ancrés à droite. Les sous-préfectures préfèrent museler la formation punk en interdisant certains de leurs concerts, "pour une question de sécurité afin d'éviter tout débordement", selon les autorités. Pourtant, Touf le guitariste, punk jusqu'au sommet de la crète, affirme "qu'il n'y a jamais eu de bagarre lors d'un concert". Alors, lorsqu'ils sont cadenassés, la solution est ne pas faire de publicité autour de l'événement ou bien d'utiliser un pseudo, à l'image d'une date donnée à Dinan (22), d'où ils sont originaires, pour la fête de la musique. "Mission Noires des Benêts" était l'anagramme de "René Benoît démission", premier magistrat de la ville. Leur concert était alors répertorié sur le dépliant spécialement prévu pour l'occasion et gracieusement offert à tous par la municipalité!

 

Un nom qui dérange?

On l'aura donc compris, Les Sarkofiottes sont avant tout des contestataires qui expriment ce qu'ils considèrent comme des injustices à travers des textes anarchistes et libertaires appelant à la résistance. Comme d'autres. De plus, deux des membres n'ont de "skin-head" que l'apparance. "Si on était des fascistes ou des nazillons, ça se saurait". Alors pourquoi un tel acharnement envers eux et ces menaces qui pèsent sur les organisateurs qui les font venir ? Sans doute en raison d'un nom qui dérange, lequel leur a aussi permis de se faire connaître sur la scène anarcho-punk. "Quelque part, ça nous sert plus que ça nous dessert". En effet, le groupe tourne beaucoup, il est souvent l'une des têtes d'affiches de festivals engagés et attire du monde, le tout dans une ambiance surchauffée. Car les Sarkofiottes ne sont jamais meilleurs que lorsqu'ils sont sur scène. Mais le deuxième album étant en préparation, dites-vous bien qu'on a pas fini d'entendre parler d'eux.

 

infos et concerts sur:   http://lessarkofiottes.dulibre.net/




                                                  Clip "Faut qu'ça pète", Les Sarkofiottes
Partager cet article
Repost0
25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 15:12

Publié le 26 juillet 2007, Le Petit Bleu



Participer au combat d'un fléau par le biais d'un périple sportif, c'est à quoi va s'attacher Philippe Samson à la fin du mois d'août sur le célèbre Paris-Brest-Paris. Après avoir réussi ce challenge en 2003, en 64 heures, le coureur de l'Arguenon Cyclosport renouvelle l'expérience en associant son coup de pédale à la Ligue Contre le Cancer.

"A l'arrivée du Paris-Brest-Paris n 2003, j'ai eu un immense vide en pensant que pluisuersmois de préparation intense, de momets vécus seuls en en groupe, de jours et de nuits sur des routes pittoresques de Bretagne, de Normandie et d'Ile-de-France n'aaient servi qu'à faire 1250 kilomètres", explique Philippe Samson, l'un des 4000 participants de cette fameuse épreuve qui, comme beaucoup de grands événements, ne se dispute que tous les quatre ans. "J'avais le setiment profond de ne pas avoi rendu à quiconque ce qu'a pu m'apporter la préparaion de cette épreuve. je crois avoir pris conscience ce jour-là que, sans un accident en décembre 2001, je ne me seai peut-être jamais lancé cet extraordinaire défi et que la principale clé de réussite pour participer au Paris-Brest-Paris est la santé".

 

"Faire parler de la maladie"

Cela faisait donc quetra ans que le projet trottait dans la tête du coureur de Saint-Potan avec pour but e jouer la carte de l'altruisme sur une expérience qu'il avait certes jugée exceptionnelle mais qui avait eu le don de le faire réfléchir sur l'issue trop individualiste d'un tel projet human. "En 2003, je me sui promis de rendre aux autres l'énorme bonheur que je peu avoir à faire du sport, du vélo en particulier avec mes copains de club ou avec des inconnus qui partagent la même passion, lors des brevets de 200, 300, 400, 600 kilomètres qualificatifs". C'est alors que ce projet a pris mesue en février pour véritablement se struturer en mai avec la décision prise de pédaler en faveur de la Liguecontre le Cancer en gardant pour objectif defaire palr de la maladie et de écoltr des dons.

Bernard Hinault pour parrain
Il a don fallu à cet entrepreneur démarcher les entreprise locales pour les convaincre de le souteniravec en contreparti le drot de voir leur logo figurer sur l'un des vingt maillots que le baroudeur va utiliser sur le trajet. Plus de 15.000 euros de dons ont d'ores et déjà été comptabilisés pour lutter contre une maladie qui, doit-on le rappeler, est la ause de 150.000 décès par an en France. Cette initiative n'a donc eu aucun mal à convaincre Bernard Hinault, homme de défi et éternel combatant dans les moments difficiles, persuadé que l coureur de l'Arguenon Cyclosport endossera l'espoir de plusieurs centaines de milliers de personnes malades. Alors contrairement à 2003, au moins dans sa tête, Philippe Samson ne sera pas tout seul sur son vélo.

Romain Lepetit

=> Toute personne souhaitant soutenir le défi peut faire un don, lequel sera reversé à la Ligue cntre le Cancer en remplissant le formulaire : http://www.arguenoncyclosport.com/paris-brest-paris/index.htm

Partager cet article
Repost0
25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 14:08

Paru le 1er novembre 2007, Le Petit Bleu


Dinan-Léhon serait-il victime de sa renommée locale? C'est en tous cas se que prêtent à croire les réponses aux blâmes portés par quelques parents dont les enfants ont été redirigés vers un autre club, "en raison d'effectifs trop importants et d'un niveau insuffisant".

Du haut de leurs 13 ans, ces petites têtes blondes du ballon rond ont peut-être déjà passé l'éponge. Pour leurs parents, il n'en est sans doute pas de même. A la fin de l'été, alors qu'ils comptaient reprendre le chemin de l'entraînement, huit d'entres-eux n'ont pas reçu de convocation. Contrairement à leurs petites copains. Les parents prennet alors le relais et disent avoir contacté Jean-Jacques Houzé -l'entraîneur salarié du club, également en charge des moins de 13 ans- afin d'en savoir davantage.
Le technicien leur aurait donc expliqué que leurs enfants n'avaient pas le niveau requis. "En réalité, nous devions faire une troisième équipe pour les moins de 13 ans. Mais ça ne s'est pas fait. Il nous manquait un éducateur mais aussi huit joueurs pour la créer. je ne pouvais pas prendre quarante enfants pour seulement deux équipes", explique Jean-Jacques Houzé.


Réorientés vers d'autres clubs
Si du côté du club, on avance la transparence envers les parents, ces derniers disent au contraire ne pas avoir été prévenus et pointent du doigt un manque de communication navrant du FC Dinan-Léhon. Reste qu'aujourd'hui, quelques-uns de ces bambins se sont sentis délaissés sur le bord du terrain et n'ont pas tous rechaussé les crampons. Si certains ont rejoint les rangs d'un autre club de la CODI, d'autres ont optés pour une nouvelle discipline. "Je comprends leur déception. Mais ce que les parents oublient de dire, c'est que leurs enfants ne venaient que très rarement aux entraînements et ne se pointaient que pour les matchs. J'ai tout simplement sélectionné les motivés car la politique de Dinan-Léhon n'est pas de faire du foot-loisir".


La charte de la Codi: faire de l'élite
Cela a le mérite d'être clair et tout le monde sera dorénavant prévenu. Le FC Dinan-Léhon garde le même fil conducteur ds équipes jaunes au groupe DH. A savoir faire de l'élite. Et il est vrai que la structurea été créé pour tirer le football local vers le haut. "Je suis payé par le club et reçois des subventions de la Codi. Si les résultats ne suivent pas, je me fais taper sur les doigts. Tout en restant amateur, Dinan-Léhon est un club ambitieux. Avec la charte de la Codi, les signataires se son engagés à nous proposer leurs meileurs éléments afin de les faire progresser. Nous devons donc faire de l'élite et non du loisir, c'est tout".


"Nous aussi, on se fait piller"
Effectivement, cet acte mis par écrit à la naissance du FC Dinan-Léhon revient sur le devant de la scène mais "la charte n'a pas vraiment d'effet. Les meilleurs clubs du Pays de Dinan n'ont pas signé. N'oublions pas que nous aussi nous nous faisons piller", ajoute-t-il répondant ainsi aux attaques qui ont longtemps fait passer l'ASC Léhon puis le FC Dinan-Léhon comme le club qui accueille l'élite locale, au grand dam des petites formations. "Nous accordons des bons de sorties à nos jeunes qui sont demandés par les centres de formation de Guingamp ou Rennes", le leitmotiv du texte étaint de "favoriser la promotion sportive des jeunes de la Codi". Un argument que l'entraîneur léhonnais prend pour sa défense. "On les fait progresser et pendant ce temps-là on se fait critiquer de tous les côtés par des clubs qui eux aussi nous ont pris plusieurs éléments".


"En finir avec les querelles de clochers"
Une chose est certaine, Dinan-Léhon est le club phare du secteur et est logiquement l'objet de discordes et de jalousies financières auxquelles Jean-Jacques Houzé aimerait mettre fin. "Il faut en finir avec les querelles de clochers. Je pense que nous entretenons de bons rapports avec la plupart des clubs environnants comme Pleudihen, par exemple. A côté de ça, beaucoup de joueurs nous quittent et vont fournir les équipes vosines", analyse l'ancien professionnel avant de souligner ce qui lui semble ilogique. "Une chose n'est pas normale. Des clubs nous prennet nos joueurs mais refusent de signer la charte".
Car il faut bien le reconnaître, celle-ci n'a pas eu le rendement sportif souhaité car "tous les clubs signataires n'ont pas une école de foot. je pense à Brusvily et Trévron. Si nous voulons tous progresser et éviter pareille mésentente comme ici avec les moins de 13 ans, il faut que les clubs comme Lanvallay, Trélivan, Pleudihen, Vildé et les autres nous rejoignent et qu'on travaille tous ensemble, main dans la main".

(Suite à venir)

Partager cet article
Repost0
25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 13:51
paru le ....  (A venir)



vidéo Justine Hénin:
Partager cet article
Repost0
25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 12:56

publié le 10 mai 2007, Le Petit Bleu








Jean-Philippe Lécuyer (à gauche), aux côtés d'Alexis Benyahia, Rodolphe Gilbert, Thierry Ascione et d'un membre du Patton avec la coupe d'Europe des clubs
















Jean-Philippe Lécuyer vit de bons moment sportifs depuis quelques années. Entre foot et tennis, son coeur a finalement flanché pour la petite balle jaune qu'il martyrise depuis l'an dernier sur les courts du Patton où il se forge une solide expérience en Nationale 2.

A bientôt 23 ans, Jean-Philippe Lécuyer vit une expérience à laquelle tout sportif de bon niveau aimerait goûter. Conscient qu'il fallait quitter les bords de Rance pour passer un cap, il a rejoint l'an dernier les rangs du prestigieux Patton pour "jouer au-dessus" et intégrer l'équipe 2 du club rennais qui évolue en Nationale 2


Champion d'Europe des clubs
L'an passé, pour sa première saison dans le club, le Dinannais et ses coéquipiers ont même survolé le championnat. "C'est une bonne expérience. Nous n'avons pas pu monter car nous sommes bloqués par l'équipe 1 qui joue en N1A mais j'ai énormément appris auprès des gars avec qui j'ai joué". Pas étonnant de progresser quand le Patton lui fait confiance pour disputer et remporter la coupe d'Europe des clubs en Belgique, une compétition "un peu fantôme" selon ses propres mots. "Même si le niveau n'était pas très relevé, cela m'a permis de jouer avec des joueurs comme Thierry Ascione et Rodolphe Gilbert", deux joueurs de Coupe Davis, anciens 81e et 61e à l'ATP. Le second nommé a même connu son heure de gloire en écartant l'ancien numéro un mondial Boris Becker en 1993, sur un Central de Roland Garros en ébullition.
Forcément, cela en impose mais "Jean-Phi" garde les pieds sur terre et sait d'où il vient. Du TC Plancoët au CFA Dinan en passant par Lanvallay où il a rencontré le brillant Walter Dubois, l'ascension du tennisman ne s'est pas faite en un coup de volée magique. Des ses six années au CFA, il ne garde que des bons souvenirs. "C'était royal, cette montée en N4. Nous étions une bonne équipe de copains et tout le club était concerné par le championnat". Un précieux soutien qui n'a malheureusement pas suffit à maintenir l'équipe à ce niveau, ni à conserver un joueur qui vient de monter à l'échelon 0 et qui peut aspirer à un autre niveau.


"Le coaching? Pourquoi pas"
Il faut dire que la carotte rennaise avait une sacrée saveur. Qui refuserait de jouer avec la réserve d'un club huit fois champion de France et qui a, ou qui a eu dans ses rangs des cadors comme Grosjean, Santoro, Llodra ou Gicquel? Tout simplement personne. Le choix de s'exiler étant fait, Jean-Philippe fait également une parenthèse pour son autre hobby, le foot, ce qui n'est pas pour arranger les affaires de l'AS Trélivan, lequel a perdu son ailier gauche qui avait défendu ses couleurs jusqu'en DSR. "J'ai quand même repris une licence pour les week-ends où je serai dans le secteur".
Car en effet, sa présence se fait de plus en plus rare dans le Pays de Dinan. Très pris par le tennis, il poursuit ses études au CREPS de Poitiers pour tenter de décrocher son Brevet d'Etat. "Depuis que je suis au Patton, je côtoie pas mal de personne du milieu. Il suffit d'un contact ou d'une opportunité à saisir. cela ne me déplairait pas de coacher un joueur sur des tournois mais je ne m'arrête pas à ça. J'aimerai bien enseigner le tennis aux enfants", avoue l'un des plus beaux revers à deux mains du "circuit". La belle aventure continue.

Romain Lepetit

Partager cet article
Repost0

Papiers Classés Dans...