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Bienvenue !

  • Romain Lepetit
  • Etudiant en journalisme à l'Ecole de Journalisme de Toulouse (EJT)
  • Etudiant en journalisme à l'Ecole de Journalisme de Toulouse (EJT)

Je me présente...

Etudiant en journalisme, j'ai voulu répertorier mes articles et reportages afin de les partager.

Vous trouverez mes travaux que j'estime les plus intéressants.
Ceux-ci sont classés par catégories (musique, sport, politique, etc...).

N'hé
sitez pas à commenter et à  faire des critiques...

Vous pouvez me contacter via:
romain-lepetit@live.fr
www.twitter.com/RomainLepetit
www.facebook.com/rlepetit

Bonne visite !

Romain

Mon parcours

FORMATIONS
2009-2012
Ecole de Journalisme de Toulouse (EJT)
2008
Licence d' Histoire (Université de Rouen)
2007
Deug d'Histoire (Université de Rennes 2)
2004
Bac ES (Les Cordeliers, Dinan)

JOURNALISME
juillet 2009

Francos TV, Francofolies de La Rochelle
Morgane Prod

de sept. à déc. 2008


Dimanche+ - Nulle Part Ailleurs Production
Canal+

depuis sept. 2006


Le Télégramme
Groupe Le Télégramme

depuis fév. 2006


Le Petit Bleu et Le Pays Malouin
Groupe Publihebdos

RELATIONS PRESSE
Dj Lyubov
concerts en France, Miami, etc.
www.myspace.fr/penelopeboysrecord
1 mars 2010 1 01 /03 /mars /2010 18:35

Reportage réalisé le 17 décembre 2009 au palais des sports de Toulouse et publié sur ActuToulouse.fr
http://www.actutoulouse.fr/20091222602/portraits/portraits/marc-gicquel-en-simple-monsieur.html

DSC 2524
Marc Gicquel a posé son sac la semaine passée à Toulouse pour disputer les Masters France. L’occasion de découvrir une journée de compétition dans les pas de l’un des meilleurs joueurs de la planète tennis.

Jeudi 17 décembre, il est 11h10 dans le froid glacial qui enveloppe le palais des sports de Toulouse. Marc Gicquel arrive de son hôtel dans une navette du tournoi. Il a débarqué la veille en provenance de Bretagne, la région qui l’a vu grandir et exploser au plus haut niveau. A Toulouse et comme souvent aux quatre coins du monde, il n’a que ses raquettes pour compagnons de chambre. Alors, pour tuer le temps qui séparait son réveil de son arrivée au palais des sports, il a visionné un film, histoire de penser à autre chose qu’au tennis.

11h30. Le Breton ne tient pas en place au palais des sports où il est comme chez lui. En survêtement, il fait les cent pas dans les couloirs, deux raquettes en main. Il les tapote l’une contre l’autre, écoute le bruit du cordage. Coté matériel, tout va bien. Mais l’attente est longue. Il joue dans trois heures et doit passer en conférence de presse, une fois qu’Arnaud Clément lui aura laissé la place. Alors, « Marco » s’en va le taquiner en faisant une incursion dans la salle où les journalistes, réunis en masse, sont à l'écoute : « Il est encore là lui ? », lance-t-il en faisant en sorte que l’ancien N°10 mondial l’entende. « Mon objectif pour 2010 ? Battre Marc Gicquel ! », s’amuse alors Arnaud Clément. « Ca va être dur pour toi! », rétorque le Breton. « Il y a une bonne ambiance entre Français même si parfois on a quelques différends avec certains. Mais cela ne nous empêche pas de nous serrer la main. Je passe plus de temps avec eux qu’avec ma famille, alors autant bien s’entendre. »

"Tant que je peux jouer..."

A son tour de passer devant les journalistes. « Parfois, on n’a pas envie de parler en conférence de presse. Surtout après une défaite. Mais ça fait partir du métier. » Aujourd’hui, il ne rechigne pas et ne laisse aucune question sans réponse. On y apprend qu’il n’a pas d’agent, que son sponsor (la marque à la virgule) l’oblige à arborer son logo dans tous les événements sportifs où il se trouve, qu’il doit faire avec les 18 raquettes par an que lui accorde son équipementier. Puis il revient sur sa saison et son manque de régularité sur les tournois majeurs : « La saison prochaine, je veux surtout mieux jouer en Grand chelem et faire quelques coups d’éclat. Et pourquoi pas, revenir à mon meilleur classement (37e mondial, ndlr). » Est également évoquée, la retraite de Fabrice Santoro. « Je suis un peu plus jeune que Fabrice », sourit le celui qui n’a que 32 ans au compteur. « Fabrice n’avait plus la même motivation. Il avait besoin d’être plus souvent avec sa fille. Et puis, il faut savoir s’arrêter. Pour ma part, tant que je peux jouer, je continue.»

12h10. De retour dans la salle de repos des joueurs, il s’enfonce dans le canapé qu’il partage avec Thierry Ascione. D’ailleurs, c’est avec ce joueur qu’il va s’entraîner mais aussi jouer le match d’ouverture de ces Masters. « Aujourd’hui je suis programmé en premier, je vais aller taper la balle avec Beaf (le surnom de Thierry Ascione, ndlr). » Ils seront rejoints par Mickaël Llodra pour un jeu où le perdant se voit infliger pour sanction de se placer en réception de service, de se retourner, de mettre le postérieur en évidence… Et d’espérer que les missiles envoyés par les joueurs ne viennent pas trop le chatouiller. C’est Thierry Ascione qui a dû se plier à la dure règle. Marco s’en est donné à cœur joie. Sympa comme mise en bouche avant d’ingurgiter le plat de pâtes au menu du jour.

"Quelques coups de blues"

14h00.
Marc Gicquel envoie quelques SMS à ses proches dans le " Player lounge ", la salle de repos. L’occasion de se rattacher au monde alors qu’il en est souvent coupé à quelques minutes de rentrer dans l’arène. « Je suis rarement chez moi. D’ailleurs, je pars le 27 décembre à Brisbane en Australie, puis à Oackland pour finir avec l’Open d’Australie. Parfois j’ai des coups de blues. L’an dernier, je me suis dit que j’allais arrêter car je suis souvent loin de mon fils et de mon épouse. Il est encore trop petit pour me suivre partout, il part dans tous les sens alors ma femme s’en occupe énormément. Quand je rentre à la maison, ce qui est dur c’est d’être deux jours chez moi et de refaire les valises pour repartir. Après, je fais un métier où je suis souvent au soleil, je ne vais pas me plaindre. Le tennis, c’est mon gagne pain. Et puis je ne vais pas jouer jusqu’à 40 ans. Alors il faut profiter de tous ces moments. »

14h10. Il range son mobile et s’en va trottiner dans les travées du palais des sports. Il échauffe ses poignets et ses chevilles qui sont menées à rude épreuve lors des glissades qui le caractérisent. Il ajuste ses chaussettes, blanches comme neuves « Je suis plus relaxe que sur le circuit ATP. Je n’ai pas envie de m’enfermer en me mettant trop de pression. C’est une fois sur le court qu’il faut être dedans. » Les arbitres passent par hasard. Marc bouscule gentiment l’un deux. « Tu es allé où pour être aussi bronzé ? », demande l’officiel. « Je suis allé bosser quelques jours en Bretagne la semaine dernière. » Eclat de rire général.

"Le tournant de ma carrière"

14h28.
Les deux joueurs vont enfin en découdre. Ils attendent que le speaker les invite à rentrer sur le court. Un show presque à l’américaine sur fond de musique rock. Après avoir sauvé trois balles de set à 4/5 dans la première manche, Marco fait cavalier seul dans la seconde manche, aligne sept jeux de rang et fait admirer ses glissades à la Gaël Monfils. Le Breton s’impose 7/5 6/1 en ayant livré un bon match. Au retour de la douche, nouveau face-à-face avec les journalistes pour expliquer les clés du match et se livrer sur l’évolution de sa carrière. « La confiance fait beaucoup. Avant, lorsque je jouais contre de grands joueurs, j’allais sur le terrain pour faire un score et ne pas être ridicule. Je prenais 6/3 6/4. Jusqu’au jour où j’ai pris conscience que je pouvais les battre. Mais il y a tellement de concurrence. C’est dur. Quand il y a des périodes difficiles à gérer comme une chute au classement ATP, il faut savoir redescendre sur des challengers pour rebondir (les tournois de deuxième division, ndlr). Il faut être très fort dans sa tête. »

Marc a lui-même dû s’employer pour sortir de l’anonymat et de la précarité du circuit secondaire. Jusqu'en 2005, il n’aimait pas voyager et se contentait des tournois français. Cette année-là, en pleine confiance, il remporte le tournoi de Grenoble en battant des joueurs comme Simon, Santoro et Enqvist. Il enchaîne avec un remarquable parcours à Lyon où il surclasse David Ferrer, alors 15e mondial. « Le tournant de ma carrière. » Marc se donne alors le droit de réellement jouer sa carte, de réaliser quelques exploits (notamment Nalbandian, Ferrero, Gaudio) et de faire le plein de souvenirs. « Contre Kieffer à Roland Garros. J’étais mené 2 sets 0, je reviens et finalement je perds 11/9 au 5e. Humainement, c’était fort avec le public qui m’encourageait. Et puis il y aussi le huitième de finale à l’US Open contre Federer. C’est pour vivre de tels moments qu’on fait ce métier. C’est ce que recherche tout sportif. Si un jour on m’avait dit que je jouerai Federer... », dit-il en regardant le plafond avant de reconnaître avec le sourire : « Oui, j’en ai de la chance ! »

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14 novembre 2009 6 14 /11 /novembre /2009 15:51

Reportage réalisé les 11 et 12 novembre 2009, à Toulouse.
Avec Jean-Sébastien Le Berre, sans accréditations, nous avons suivi l'équipe championne du monde de rugby, l'Afrique du Sud, dans sa préparation du match qui l'opposait au XV de France.

Publié le 13 novembre 2009 sur ActuToulouse.fr:
http://www.actutoulouse.fr/20091113490/actualite-toulouse/sport/dans-les-pas-des-springboks.html



matfield.jpg

Victor Matfield, l'un des meilleurs joueurs de la planète,
répond aux questions des journalistes sud-africains.
(Photo: Jean-Sébastien Le Berre)


Mercredi 11 novembre, Maison du Rugby
16h30 : Une pluie s'abat sur le complexe sportif des Argoulets. C'est à la Maison du Rugby que doit se tenir la première conférence de presse des champions du monde sur le sol français. Un bar fait les yeux doux à tous les chasseurs d'info, qui préfèrent toutefois tuer le temps en bavardant avec les collègues. Le gros de la troupe Sud-Af ' est arrivé dans la matinée en provenance de Londres, où il a subi une surprenante défaite contre Leicester (22-17) la semaine passée. Un second groupe venu de Johannesbourg a rejoint ces 19 joueurs en début d'après-midi au stade Alain-Coulon, où tout ce beau monde a pu se dégourdir les jambes sous le crachin.

16h45 : Un cortège de grosses cylindrées débarque. En sort l'intégralité du staff des Springboks, le sélectionneur Peter de Villier en tête mais... un seul joueur ! Le capitaine John Smit, évidemment. Tous arborent des survêtements vert sombre, caractéristiques de la sélection. Sourires «Colgate» et franches poignées de main de mise. Une demi-douzaine de caméras est installée face au pupitre, pendant qu'une vingtaine de journalistes prend place dans les rangs. Plusieurs photographes commencent à faire crépiter leurs flashs.
Sont évoqués : la violence prétendue de leur jeu, leur arrivée tardive en France, leurs impressions sur leur niveau, sur celui du XV de France, ou encore le retour en France de Smit, passé par Clermont en 2007-2008. Des questions visiblement attendues, qui amènent des réponses mécaniques, presque récitées par coeur. Une interrogation sur le choix d'un joueur donne toutefois l'occasion à De Villiers de rabrouer un interlocuteur: «Vous avez l'air de connaître mon groupe mieux que moi ! Vous ne voulez pas devenir sélectionneur ?» Sourires narquois de la confrérie. Au bout de vingt minutes chrono : «Last question, please ?»

17h 10 : Réglée comme une montre suisse, la conférence s'achève. Les « Boks » se lèvent, s'engouffrent dans leurs véhicules, et repartent aussi vite qu'ils étaient arrivés. Un autre rendez-vous est donné aux journalistes, le lendemain midi en centre-ville.

Jeudi 12 novembre, 12h20, Crowne Plaza Hotel
On prend les mêmes et on recommence. Attablée sur une terrasse faisant face à l'entrée du 4 étoiles de la place du Capitole, une poignée de journalistes français attend un signe du personnel de l'hôtel.
12h30 : «C'est bon, on y va! » Un briscard de la presse locale lance l'assaut. La petite troupe se rue dans le hall luxueux, puis dans un des ascenseurs pour gagner le cinquième étage en compagnie d'un représentant de la délégation sud-africaine. Arrivés sur place, les journalistes français découvrent un salon déjà investi par les confrères anglophones. Plusieurs « stands » y sont disposés. Chacun doit attendre, faire la queue pour poser sa question, ou tendre son dictaphone entre les épaules de deux collègues dans une gentille cohue. C'est Disneyland.

Quatre joueurs décontractés -en shorts et en tongs- tournent sur ces stands pour débiter les réponses habituelles aux questions habituelles, les yeux dans le vague mais d'un ton très professionnel. Dans le brouhaha ambiant, les mêmes bribes reviennent immanquablement. Au bout de vingt minutes suffocantes dans cette pièce bondée, rebelote : top chrono. Merci d'être venus, la sortie, c'est par là. ActuToulouse.fr aura néanmoins l’honneur d’arracher un dernier mot au 2e ligne Bakkies Botha, visiblement heureux de
« jouer dans une ville de connaisseurs du rugby et où il fait beau ».

Jeudi 12 novembre, 14h45, Stadium
«Désolé, on ne passe pas ! Les Sud-africains s’entraînent à huis clos. Seuls quatre journalistes de leur fédération sont autorisés à les suivre !» Implacable, le chef de la sécurité.
Et pour l'Equipe de France ce soir ?
« Ce sera encore pire!»
Bien. Ca promet. Il est vrai que les journalistes sont étrangement moins nombreux d'un coup. Pourtant, à bien y regarder, si l'entrée principale de la tribune d'honneur est effectivement barricadée et gardée par de nombreux vigiles au zèle éprouvé, une porte annexe s'offre, grande ouverte, à qui veut bien s'en approcher. Et débouche, stupeur, sur l'arène désertée, dans laquelle gambadent joyeusement des gazelles vertes. «Entraînement » est un bien grand mot. Quelques passes gentillettes, deux-trois coups de pieds entre les perches, une ou deux touches pour la forme : la séance ressemble plus à une reconnaissance de la pelouse. La véritable séance a eu lieu la veille sur les installations du Toulouse Université Club. Avec un peu de patience et d'attention, il y a quand même moyen de prendre quelques clichés, notamment de la star Bryan Habana, jusqu'alors invisible, qui gratifie la modeste assistance d'un mini-strip-tease.
En tout, les champions du monde ne restent guère plus de 45 minutes sur l'aire de jeu, et regagnent le parking sans même passer par la case vestiaire. Pas de car spécial pour transporter ces invités de prestige jusqu'à leur hôtel, mais un système de covoiturage qui a bien du mal à se mettre en place. Les « Sud-Af’ » attendent sagement en jonglant pieds nus avec des balles de tennis sur le parvis du Stadium.
15h40 : Le carrosse arrive enfin pour embarquer tout ce petit monde avant que les Bleus ne prennent à leur tour possession des lieux. Place à un XV de France nettement moins communicatif mais tout aussi perméable sur son entraînement supposé à huis clos…

Jean-Sébastien Le Berre & Romain Lepetit


Ils ont dit à Actutoulouse.fr...

vign_de_villiersPeter de Villiers, sélectionneur:
« Le match le plus dur de la saison »
« Ce sera un gros test match, peut-être le plus dur de la saison. Les Bleus sont très respectés dans le monde du rugby. Le french flair, le paquet d'avants le plus puissant de la planète... Toutes ces choses parlent aux Sud-Africains.»



smit_bis_vign
John Smit
, pilier et capitaine
:
« Douze ans sans gagner en France »
« La saison a été très longue. Mais notre motivation est intacte. Cela fait douze ans que nous n’avons plus gagné en France. Nous voulons conserver notre mentalité de gagneurs jusqu’au bout, maintenir les standards de nos performances de cet été face aux Lions britanniques et inculquer cette expérience aux jeunes. »


botha_vignBakkies Botah, 2e ligne:
« Chabal, le gars avec les jolis cheveux »
« Un match, c’est de l'engagement. Ce mot me donne des frissons. J'adore ça, l'idée de retourner des rucks partout sur le terrain. »
Interrogé sur Sébastien Chabal qui incarne la puissance à la française, il sourit:
« Je le connais, c'est le gars avec les jolis cheveux longs. C'est un bon joueur. Il va entrer en jeu en deuxième mi-temps, je suis impatient de le voir et peut-être qu'on se croisera dans un ruck ou deux. »
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25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 15:12

Publié le 26 juillet 2007, Le Petit Bleu



Participer au combat d'un fléau par le biais d'un périple sportif, c'est à quoi va s'attacher Philippe Samson à la fin du mois d'août sur le célèbre Paris-Brest-Paris. Après avoir réussi ce challenge en 2003, en 64 heures, le coureur de l'Arguenon Cyclosport renouvelle l'expérience en associant son coup de pédale à la Ligue Contre le Cancer.

"A l'arrivée du Paris-Brest-Paris n 2003, j'ai eu un immense vide en pensant que pluisuersmois de préparation intense, de momets vécus seuls en en groupe, de jours et de nuits sur des routes pittoresques de Bretagne, de Normandie et d'Ile-de-France n'aaient servi qu'à faire 1250 kilomètres", explique Philippe Samson, l'un des 4000 participants de cette fameuse épreuve qui, comme beaucoup de grands événements, ne se dispute que tous les quatre ans. "J'avais le setiment profond de ne pas avoi rendu à quiconque ce qu'a pu m'apporter la préparaion de cette épreuve. je crois avoir pris conscience ce jour-là que, sans un accident en décembre 2001, je ne me seai peut-être jamais lancé cet extraordinaire défi et que la principale clé de réussite pour participer au Paris-Brest-Paris est la santé".

 

"Faire parler de la maladie"

Cela faisait donc quetra ans que le projet trottait dans la tête du coureur de Saint-Potan avec pour but e jouer la carte de l'altruisme sur une expérience qu'il avait certes jugée exceptionnelle mais qui avait eu le don de le faire réfléchir sur l'issue trop individualiste d'un tel projet human. "En 2003, je me sui promis de rendre aux autres l'énorme bonheur que je peu avoir à faire du sport, du vélo en particulier avec mes copains de club ou avec des inconnus qui partagent la même passion, lors des brevets de 200, 300, 400, 600 kilomètres qualificatifs". C'est alors que ce projet a pris mesue en février pour véritablement se struturer en mai avec la décision prise de pédaler en faveur de la Liguecontre le Cancer en gardant pour objectif defaire palr de la maladie et de écoltr des dons.

Bernard Hinault pour parrain
Il a don fallu à cet entrepreneur démarcher les entreprise locales pour les convaincre de le souteniravec en contreparti le drot de voir leur logo figurer sur l'un des vingt maillots que le baroudeur va utiliser sur le trajet. Plus de 15.000 euros de dons ont d'ores et déjà été comptabilisés pour lutter contre une maladie qui, doit-on le rappeler, est la ause de 150.000 décès par an en France. Cette initiative n'a donc eu aucun mal à convaincre Bernard Hinault, homme de défi et éternel combatant dans les moments difficiles, persuadé que l coureur de l'Arguenon Cyclosport endossera l'espoir de plusieurs centaines de milliers de personnes malades. Alors contrairement à 2003, au moins dans sa tête, Philippe Samson ne sera pas tout seul sur son vélo.

Romain Lepetit

=> Toute personne souhaitant soutenir le défi peut faire un don, lequel sera reversé à la Ligue cntre le Cancer en remplissant le formulaire : http://www.arguenoncyclosport.com/paris-brest-paris/index.htm

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25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 14:08

Paru le 1er novembre 2007, Le Petit Bleu


Dinan-Léhon serait-il victime de sa renommée locale? C'est en tous cas se que prêtent à croire les réponses aux blâmes portés par quelques parents dont les enfants ont été redirigés vers un autre club, "en raison d'effectifs trop importants et d'un niveau insuffisant".

Du haut de leurs 13 ans, ces petites têtes blondes du ballon rond ont peut-être déjà passé l'éponge. Pour leurs parents, il n'en est sans doute pas de même. A la fin de l'été, alors qu'ils comptaient reprendre le chemin de l'entraînement, huit d'entres-eux n'ont pas reçu de convocation. Contrairement à leurs petites copains. Les parents prennet alors le relais et disent avoir contacté Jean-Jacques Houzé -l'entraîneur salarié du club, également en charge des moins de 13 ans- afin d'en savoir davantage.
Le technicien leur aurait donc expliqué que leurs enfants n'avaient pas le niveau requis. "En réalité, nous devions faire une troisième équipe pour les moins de 13 ans. Mais ça ne s'est pas fait. Il nous manquait un éducateur mais aussi huit joueurs pour la créer. je ne pouvais pas prendre quarante enfants pour seulement deux équipes", explique Jean-Jacques Houzé.


Réorientés vers d'autres clubs
Si du côté du club, on avance la transparence envers les parents, ces derniers disent au contraire ne pas avoir été prévenus et pointent du doigt un manque de communication navrant du FC Dinan-Léhon. Reste qu'aujourd'hui, quelques-uns de ces bambins se sont sentis délaissés sur le bord du terrain et n'ont pas tous rechaussé les crampons. Si certains ont rejoint les rangs d'un autre club de la CODI, d'autres ont optés pour une nouvelle discipline. "Je comprends leur déception. Mais ce que les parents oublient de dire, c'est que leurs enfants ne venaient que très rarement aux entraînements et ne se pointaient que pour les matchs. J'ai tout simplement sélectionné les motivés car la politique de Dinan-Léhon n'est pas de faire du foot-loisir".


La charte de la Codi: faire de l'élite
Cela a le mérite d'être clair et tout le monde sera dorénavant prévenu. Le FC Dinan-Léhon garde le même fil conducteur ds équipes jaunes au groupe DH. A savoir faire de l'élite. Et il est vrai que la structurea été créé pour tirer le football local vers le haut. "Je suis payé par le club et reçois des subventions de la Codi. Si les résultats ne suivent pas, je me fais taper sur les doigts. Tout en restant amateur, Dinan-Léhon est un club ambitieux. Avec la charte de la Codi, les signataires se son engagés à nous proposer leurs meileurs éléments afin de les faire progresser. Nous devons donc faire de l'élite et non du loisir, c'est tout".


"Nous aussi, on se fait piller"
Effectivement, cet acte mis par écrit à la naissance du FC Dinan-Léhon revient sur le devant de la scène mais "la charte n'a pas vraiment d'effet. Les meilleurs clubs du Pays de Dinan n'ont pas signé. N'oublions pas que nous aussi nous nous faisons piller", ajoute-t-il répondant ainsi aux attaques qui ont longtemps fait passer l'ASC Léhon puis le FC Dinan-Léhon comme le club qui accueille l'élite locale, au grand dam des petites formations. "Nous accordons des bons de sorties à nos jeunes qui sont demandés par les centres de formation de Guingamp ou Rennes", le leitmotiv du texte étaint de "favoriser la promotion sportive des jeunes de la Codi". Un argument que l'entraîneur léhonnais prend pour sa défense. "On les fait progresser et pendant ce temps-là on se fait critiquer de tous les côtés par des clubs qui eux aussi nous ont pris plusieurs éléments".


"En finir avec les querelles de clochers"
Une chose est certaine, Dinan-Léhon est le club phare du secteur et est logiquement l'objet de discordes et de jalousies financières auxquelles Jean-Jacques Houzé aimerait mettre fin. "Il faut en finir avec les querelles de clochers. Je pense que nous entretenons de bons rapports avec la plupart des clubs environnants comme Pleudihen, par exemple. A côté de ça, beaucoup de joueurs nous quittent et vont fournir les équipes vosines", analyse l'ancien professionnel avant de souligner ce qui lui semble ilogique. "Une chose n'est pas normale. Des clubs nous prennet nos joueurs mais refusent de signer la charte".
Car il faut bien le reconnaître, celle-ci n'a pas eu le rendement sportif souhaité car "tous les clubs signataires n'ont pas une école de foot. je pense à Brusvily et Trévron. Si nous voulons tous progresser et éviter pareille mésentente comme ici avec les moins de 13 ans, il faut que les clubs comme Lanvallay, Trélivan, Pleudihen, Vildé et les autres nous rejoignent et qu'on travaille tous ensemble, main dans la main".

(Suite à venir)

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25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 13:51
paru le ....  (A venir)



vidéo Justine Hénin:
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25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 12:56

publié le 10 mai 2007, Le Petit Bleu








Jean-Philippe Lécuyer (à gauche), aux côtés d'Alexis Benyahia, Rodolphe Gilbert, Thierry Ascione et d'un membre du Patton avec la coupe d'Europe des clubs
















Jean-Philippe Lécuyer vit de bons moment sportifs depuis quelques années. Entre foot et tennis, son coeur a finalement flanché pour la petite balle jaune qu'il martyrise depuis l'an dernier sur les courts du Patton où il se forge une solide expérience en Nationale 2.

A bientôt 23 ans, Jean-Philippe Lécuyer vit une expérience à laquelle tout sportif de bon niveau aimerait goûter. Conscient qu'il fallait quitter les bords de Rance pour passer un cap, il a rejoint l'an dernier les rangs du prestigieux Patton pour "jouer au-dessus" et intégrer l'équipe 2 du club rennais qui évolue en Nationale 2


Champion d'Europe des clubs
L'an passé, pour sa première saison dans le club, le Dinannais et ses coéquipiers ont même survolé le championnat. "C'est une bonne expérience. Nous n'avons pas pu monter car nous sommes bloqués par l'équipe 1 qui joue en N1A mais j'ai énormément appris auprès des gars avec qui j'ai joué". Pas étonnant de progresser quand le Patton lui fait confiance pour disputer et remporter la coupe d'Europe des clubs en Belgique, une compétition "un peu fantôme" selon ses propres mots. "Même si le niveau n'était pas très relevé, cela m'a permis de jouer avec des joueurs comme Thierry Ascione et Rodolphe Gilbert", deux joueurs de Coupe Davis, anciens 81e et 61e à l'ATP. Le second nommé a même connu son heure de gloire en écartant l'ancien numéro un mondial Boris Becker en 1993, sur un Central de Roland Garros en ébullition.
Forcément, cela en impose mais "Jean-Phi" garde les pieds sur terre et sait d'où il vient. Du TC Plancoët au CFA Dinan en passant par Lanvallay où il a rencontré le brillant Walter Dubois, l'ascension du tennisman ne s'est pas faite en un coup de volée magique. Des ses six années au CFA, il ne garde que des bons souvenirs. "C'était royal, cette montée en N4. Nous étions une bonne équipe de copains et tout le club était concerné par le championnat". Un précieux soutien qui n'a malheureusement pas suffit à maintenir l'équipe à ce niveau, ni à conserver un joueur qui vient de monter à l'échelon 0 et qui peut aspirer à un autre niveau.


"Le coaching? Pourquoi pas"
Il faut dire que la carotte rennaise avait une sacrée saveur. Qui refuserait de jouer avec la réserve d'un club huit fois champion de France et qui a, ou qui a eu dans ses rangs des cadors comme Grosjean, Santoro, Llodra ou Gicquel? Tout simplement personne. Le choix de s'exiler étant fait, Jean-Philippe fait également une parenthèse pour son autre hobby, le foot, ce qui n'est pas pour arranger les affaires de l'AS Trélivan, lequel a perdu son ailier gauche qui avait défendu ses couleurs jusqu'en DSR. "J'ai quand même repris une licence pour les week-ends où je serai dans le secteur".
Car en effet, sa présence se fait de plus en plus rare dans le Pays de Dinan. Très pris par le tennis, il poursuit ses études au CREPS de Poitiers pour tenter de décrocher son Brevet d'Etat. "Depuis que je suis au Patton, je côtoie pas mal de personne du milieu. Il suffit d'un contact ou d'une opportunité à saisir. cela ne me déplairait pas de coacher un joueur sur des tournois mais je ne m'arrête pas à ça. J'aimerai bien enseigner le tennis aux enfants", avoue l'un des plus beaux revers à deux mains du "circuit". La belle aventure continue.

Romain Lepetit

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25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 12:51

paru le 29 juin 2006, Le Petit Bleu

De retour dans le Pays de Dinan, le jeune professionnel de "La Française des jeux" nous livre ses impressions sur le Giro 2006, épreuve sur laquelle il a côtoyé le plus haut niveau mondial.

Marc Madiot, directeur sportif de La Française des Jeux, lui a tendu la main en l'intégrant à son groupe pour le Giro. Comme à son habitude, c'est sur le vélo qu'Arnaud Gérard lui a donné raison. A l'arrivée à Milan, et après 3.526 kilomètres parcourus sur le routes transalpines, le natif de Brusvily venait de termine son prmier grand tour pour sa première participation. 143e au général, paradoxalement, il a tout gagné sur ce Giro puisque Madiot vient de lui proposer un nouveau contrat de deux ans en guise de reconnaissance pour le travail fruni et de confiance pour l'avenir.

Au service de Mac Gee et Casar

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25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 12:43
publié le 2 novembre 2006, Le Petit Bleu


En fin de saison, le Plancoëtin a décidé de repartir pour deux saisons chez Agritubel, une formation au fort contingent Dinannais (Hervé et Ravaleu). A 32 ans, Benoît Salmon respire vélo comme en 1995 lors de ses débuts chez les professionnels et n'est résolument pas prêt de bouder son plaisir.

Depuis quelques saisons, il se fait plus discret qu'il y a quelques années lorsqu'il avait surpris tout son monde en remportant le Midi-Libre et en se classant 16e de ce que certains voyaient comme le Tour de France du renouveau. C'était en 1999. Un peloton que l'on espérait purgé de ses démons, révélait de grands espoirs du cyclisme mondial qui n'allaient pas tarder à crever l'écran. Benoît Salmon était de ceux-là. Tout comme Alexandre Vinokourov que le Breton s'est donné le droit de devancer au classement général de ce qui constitie l'une des plus célèbres courses à étapes françaises. C'était véritablement la plus belle victoire d'une carrière qui aurait pu en attendre d'autres.


"Je suis aussi fort qu'en 1999"
Ce jeune champion de 25 ans suscitait l'espoir de toute une région et du CC Plancoëtin, club dans lequel il a fait ses premières armes. Après une année 2000 que l'on qualifiera de transition, Benoît Salmon réaffirmera son potentiel avec un proifique millésime 2001, coloré d'une belle 2e place sur le Midi-Libre devant les Moreau et Laurent Jalabert, et une 3e place au Dauphiné-Libéré.
Depuis, les temps se sont faits un peu plus durs. "La chance ne m'a plus vraiment sourit depuis quelques temps, reconnaît-il. J'espère que 2007 et 2008 me seront plus favorables. A chaque début de saison, tout le monde repart à zéro mais le sport de haut niveau est dur et les résultats ne suivent pas forcément. Tout est une question de physique et de mental. En prenant des claques à chaque course, le moral finit par partir. C'est vrai que je marchais fort en 1999, mais sincèrement, je pense être plus fort aujourd'hui qu'à l'époque". A 32 ans, c'est donc une question d'envie et de jambes. 39e du Tour, 13e de la Flèche Wallonne, 4e du Grand-Prix de Wallonie ou encore 17e à Plouay, le Plancoëtin a fait preuve d'une bonne saison mais pas au point d'en perdre les pédales. "Ce n'est pas grave. Cela fait toujours du bien d'être devant et de montrer le maillot même si la victoire n'est pas au bout".

"Le capitaine de route"
On l'aura donc compris, Benoît Salmon cherche à donner un autre visage à sa carrière. S'il n'en fait plus un drame de ne plus lever les bras, il préfère faire parler son expérience auprès des jeunes de l'équipe. "Les jeunes font du mieux qu'ils peuvent. Je me sens beaucoup plus à l'aise chez Agritubel plutût que dans une grosse cylindrée comme le Crédit Agricole où j'ai évolué en 2004. On y demandait aux jeunes de faire des résultats immédiatement ou presque. Ce sont des équipes qui marchent au rendement. Sans résultat, tu n'as pas de reconnaissance alors que tu te donnes à fond". Une formule que le Breton, pour son plus grand bonheur, n'a pas retrouvé dans la formation montante de ces deux dernières années. "Agritubel est une équipe conviviale. Mon rôle est en quelque sorte celui du capitaine de route prêt à épauler les nouveaux qui n'ont pas de repères chez les pros".
En bon "parrain" qu'il est, il a même choisi de continuer à suivre ses protégés. "J'ai décidé de prolonger mon contrat de deux saisons supplémentaires et je me verrai bien finir ma carrière ici, mais pas forcément à la fin de ce contrat. je me vis bien continuer encore trois ou quatre ans".

RL

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25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 12:16

Publié le 30 août 2007, Le Petit Bleu

C'est promis, le Castin Denis Vanlaere va tout mettre en oeuvre pour être à La Rochelle en 2009, au départ de la Mini Transat' qui rallie le port brésilien de Salvador de Bahia. Le bateau est en construction, à l'image du projet qui suit son cours.

Le Brésil. Son équipe de foot, son carnaval de Rio, sa samba et ses danseuses déjantées, mais aussi l'arrivée de la Mini Transat' en solitaire à Salvador de Bahia. C'est tout ce qui alimente le rêve du Castin Denis Vanlaere, lequel a vu germer dans un coin de sa tête ce défi humain qu'est de traverser l'Atlantique en solitaire. "J'ai toujours été passionné par la régate que j'ai beaucoup pratiquée dans le sud de la France. Mais là, je veux goûter au solitaire au large. Gérer seul le bateau, la météo, la nourriture et les imprévus", reconnaît-il.

"Trempé dans un bateau humide"
C'est avec ce sentiment de devoir se lancer dans le grand bain que Denis Vanlarere a jeté son dévolu sur cette épreuve qui relie la Rochelle au Brésil. "Ce projet nécessite entre deux et quatre ans de préparation avec la construction du bateau. C'est un ami architecte naval qui s'en charge. J'ai donc entièrement confiance en mon bateau en carbone, léger et résistant". Un investissement matériel qui ne va pas sans un sacrifice financier, surtout lorsqu'il s'agit d'une première expérience. "Pour l'instant, ce sont surtout des amis qui me donnent un petit coup de pouce. Je vais commencer à démarcher les gros groupes d'entreprises. Il me faut 100.000 euros. J'ai déjà dû faire un prêt pour la moitié". Autant dire que rien n'est facile dans cette aventure. "La Mini Transat', c'est 4.200 miles avec une escale à Madère. Le marin est souvent trempé dans un bateau humide. Mais, c'est aussi ça le charme de la mer. J'espère être sur la ligne des partants et pourquoi pas être dans les dix premiers. Tout en restant humble car il y a de grosses cylindrées, je n'y vais pas pour figurer".

Romain Lepetit

contact:
vanlaeredenis@yahoo.fr

vidéo de la Mini Transat':

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24 juillet 2008 4 24 /07 /juillet /2008 08:30
Article paru dans Le Télégramme et letelegramme.fr le jeudi 24 juillet 2008

La deuxième étape des Estivales baissait le rideau hier à Erquy, pour laisser la place au sprint final sur la plage de Saint-Cast-le-Guildo, à partir d'aujourd'hui. Bien aidé par une météo idéale, le plus grand rassemblement de Beach-Volley en Europe est en passe de battre des records.

« Chapeau les gars ! », déclarait Laurent Tillie, entraîneur de l'AS Cannes, en direction du comité d'organisation présidé par Yves Pinault. Forcément, cela doit faire plaisir, surtout quand cela ne vient pas de n'importe qui. Il faut dire que la machine est lancée à plein régime depuis le premier jour de l'étape de Pléneuf-Val-André. Un soleil présent, du beau monde, que demander de plus ? « Tout fonctionne parfaitement, annonce Yves Pinault, président d'Armor Volley-Ball et à la tête d'une équipe rodée d'une centaine de bénévoles. En termes d'inscriptions, on a constaté une hausse de 6 % au Val-André et 10 % à Erquy. Il y a donc 6.000 matchs de prévus en dix jours et nous devrions atteindre les 5.500 participants cette année ».

Des « Guest-Stars »
Parmi ces adeptes du « Beach », on peut noter les présences de joueurs ayant fait les beaux jours des championnats européens, à l'instar de Xavier Ziani, champion de France avec le Paris-Volley en 2006. Hubert Henno, habitué de l'événement et accessoirement 164 fois porteur du maillot tricolore est également de la partie. Au Val-André, lui et ses partenaires ont déjà obtenu leur billet pour le Trophée Prestige qui se disputera dimanche à Saint-Cast. Il a donc fait l'impasse sur Erquy pour rejoindre son club en Italie, en espérant pouvoir revenir dans les Côtes-d'Armor ce week-end.

Succès populaire
Il est vrai que l'événement est devenu un rituel pour bon nombre de volleyeurs, heureux de faire partie du même trio alors qu'ils se sont parfois affrontés dans des matchs au sommet en Pro A, par exemple. Mais les Estivales restent avant tout un rendez-vous populaire où tous les niveaux sont les bienvenus. Et le message a vraisemblablement été entendu avec une affluence qui bat des records tous les ans. La preuve, « cette année, les joueurs qui sont à l'autre bout de la plage nous appellent depuis leur portable pour nous communiquer les résultats ». C'est aussi ça, la rançon du succès.
R. L.
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