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Bienvenue !

  • Romain Lepetit
  • Etudiant en journalisme à l'Ecole de Journalisme de Toulouse (EJT)
  • Etudiant en journalisme à l'Ecole de Journalisme de Toulouse (EJT)

Je me présente...

Etudiant en journalisme, j'ai voulu répertorier mes articles et reportages afin de les partager.

Vous trouverez mes travaux que j'estime les plus intéressants.
Ceux-ci sont classés par catégories (musique, sport, politique, etc...).

N'hé
sitez pas à commenter et à  faire des critiques...

Vous pouvez me contacter via:
romain-lepetit@live.fr
www.twitter.com/RomainLepetit
www.facebook.com/rlepetit

Bonne visite !

Romain

Mon parcours

FORMATIONS
2009-2012
Ecole de Journalisme de Toulouse (EJT)
2008
Licence d' Histoire (Université de Rouen)
2007
Deug d'Histoire (Université de Rennes 2)
2004
Bac ES (Les Cordeliers, Dinan)

JOURNALISME
juillet 2009

Francos TV, Francofolies de La Rochelle
Morgane Prod

de sept. à déc. 2008


Dimanche+ - Nulle Part Ailleurs Production
Canal+

depuis sept. 2006


Le Télégramme
Groupe Le Télégramme

depuis fév. 2006


Le Petit Bleu et Le Pays Malouin
Groupe Publihebdos

RELATIONS PRESSE
Dj Lyubov
concerts en France, Miami, etc.
www.myspace.fr/penelopeboysrecord
23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 20:48
Reportage réalisé en novembre 2009 au comptoir du bar l'Autan, le repère des rockeurs, boulevard d'Arcole à Toulouse.
Publié le 23 novembre 2009 sur ActuToulouse.fr:
http://www.actutoulouse.fr/20091123529/actualite-toulouse/culture/brassens-to-be-alive.html




De l’endroit où il nous observe, tonton Georges doit se friser les moustaches. Avec la sortie du deuxième album des Brassens’s Not Dead, la relève est assurée.


1981, sale année pour les chanteurs accros à la nicotine! Bob Marley s’éclipsait de ce monde dans un nuage de fumée et en France, Georges Brassens cassait sa pipe. A l’époque, Irwin Soler n’était qu’un gamin qui, comme beaucoup de jeunes, retiennent plus facilement les paroles des chansons que les règles de grammaire. Alors, son maître à penser n’était pas l’instituteur du village qui, sans prétention, n’avait sûrement pas mauvaise réputation. Non, son mentor à lui, c’était cet homme moustachu accompagné de sa guitare, qui chantait des textes libertaires sur les écrans de télé.

Trente ans plus tard, Irwin nous invite dans le bistrot où il a ses repères, l’Autan, avenue d’Arcole à Toulouse, où même les dessous de bière annoncent la sortie du nouvel album du groupe de « punk n’ roll » dont il est l’instigateur. Approchant la quarantaine, casquette visée sur le crâne, boucle d’oreille et sweat à capuche estampillé « Brassen’s Not Dead », il explique l’origine du projet, il y a cinq ans. « Je suis un fan de Brassens, de ses textes, de ses mélodies. Avec mon frère qui est guitariste, on a commencé par un duo et on a trouvé que ça s’adaptait bien au rock. Alors pourquoi ne pas former un groupe dans lequel on reprendrait du Brassens à notre sauce? » Irwin en a parlé aux copains d’abord. « Ca les a branchés, ils nous ont suivi ». Depuis, qu’on se le dise, Brassens n’est pas mort.


Un bouche-à-oreille qui fonctionne

Le groupe effectue entre 60 et 100 dates par an et n’hésite pas à aller explorer d’autres contrées. « On joue partout en France, dans des salles, des festivals, des bars. Mais plus on avance plus on joue dans de gros trucs. Nous sommes même connus en Suisse et en Belgique alors que nous n’y avons jamais joué ». Le bouche-à-oreille a même eu de l’écho dans le Pays de Georges Brassens. « Le musée Brassens, situé à Sète, nous a fait jouer lors d’un festival à Paris, on a de très bons rapports avec ces gens-là ». Le festival « Quand je pense à Fernande » a emboîté le pas et a naturellement fait des Brassen’s Not Dead l’une de ses têtes d’affiche en 2007. L’évocation de ces anecdotes fait sourire Irwin Soler. « Je me souviens de l’hommage à Brassens à Sète. Nous étions invités pour jouer deux titres. Mais, on en voulait plus. Du coup, on a un peu débordé avec cinq chansons ».


« De la mémé au punk »

Il faut dire que leurs concerts sont pour le moins animés. Avec un comédien qui se déguise tantôt en gorille, tantôt en ancêtre selon les chansons, les spectateurs, qu’ils soient inconditionnels de Brassens ou pas, ont de quoi rester scotchés. « Quand nous jouons sur Toulouse, Delphine, qui est sourde, traduit les textes en langage des signes. Du coup, lorsqu’elle est là, il y a pas mal de sourds à venir nous voir. C’est émouvant ».

Et puisque le temps ne fait souvent rien à l’affaire, le groupe cherche avant tout à véhiculer et préserver une culture. « On pense aux nouvelles générations pour qui Brassens est simplement un papé qui faisait de la chanson. On le fait redécouvrir à pas mal de monde. Souvent, même des anciens viennent nous voir jouer dans les bars. A Sète, ça allait de la mémé au punk et c’était joyeux ». Alors, Tonton Georges était-il un « keupon » de son époque ? « Il était peut-être un peu punk dans sa façon de penser. Lui se disait plutôt moyenâgeux. En tout cas il était libertaire et ça se rejoint bien ».



Dates et concerts sur www.brassens-not-dead.fr ou www.myspace.com/brassensnotdead

Sortie du prochain album le 7 décembre 2009


La Complainte des Filles de Joie
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4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 20:48
Sujet publié le 4 novembre 2009 sur actutoulouse.fr
http://www.actutoulouse.fr/20091104457/portraits/portraits/gina-lalternative-qbuena-vidaq.html
Interview réalisée dans l'après-midi du samedi 31 octobre 2009, à la terrasse d'un café au Grand Rond, à Toulouse.
 Photo: Constance Thieux

Figure du mouvement rock alternatif des années 80 aux côtés de la Mano Negra, des VRP et autres Garçons Bouchers, Gina la Toulousaine d’adoption remonte sur scène, assagie. Un peu seulement.

 

Elle ne paye pas de mine, Gina. Allures de quinqua sympa, rouge à lèvres carmin, talons aiguilles et tailleur sexy. Rien sur elle ne laisse deviner un passé pour le moins électrique. Comme quoi, une vie rock n’ roll, ça conserve. Pas du genre à économiser sa parole, il suffit qu’elle lance sa voix nasillarde pour partir vers un monologue sans refrain, sans fin. Qu’on se le dise, chez Gina, les chichis et les tabous n’ont pas leur place. « J’ai un parcours très chaotique », lance celle qui a participé à l’effervescence du mouvement rock alternatif à partir de la fin des années 80.

Souvenez-vous, c’est elle qui a écrit les paroles de « L’escalier » pour Los Carayos, le groupe emmené par Manu Chao. Même son de cloche pour « La misère des voix vulgaires », interprétée par les VRP. Et puis, le personnage féminin dans le clip « Mala Vida » de la Mano Negra, c’est encore Gina. En bonne copine du groupe, elle avait empoché « 1500 Francs (environ 230 euros, ndlr). Quand je vois que le clip tourne encore en boucle à la télé j’aimerai bien toucher des droits et qu’on me paye, comme une comédienne le serait, pour apparaître sur un clip de la Mano. » Et d’ajouter en soupirant : « Si seulement mon compte en banque était aussi gros que ma renommée… »

En effet, les « cartons » dont elle a signé les textes n’ont pas fait sa fortune. A l’époque, on ne disait pas à la Sacem qui était l’auteur d’une chanson. Et puis, dans nos têtes, c’était honteux de gagner de l’argent en étant artistes. Avant de penser argent, on voulait secouer la bourgeoisie. Alors, j’étais au RMI et je vivais dans des squats. Maintenant, c’est fini, je refuse d’être esclave. »

 

« J’étais trash »

Après avoir sorti deux albums sous le nom de Gina et l’Orchestre, elle met un point final à l’aventure parisienne en 1995.  Elle reconnaît qu’il y avait « pas mal d’embrouilles. Mais on savait pourquoi on se foutait sur la gueule. » Logiquement, les instigateurs du mouvement ont ressenti le besoin de respirer. Il était tant que cela s’arrête pour tout le monde. Gina la première. « Le mouvement a été douloureux pour moi. J’étais trash, folle et j’envoyais chier tout le monde. C’était dans ma tête, c’était mes vieux démons. Pourtant, aujourd’hui, les gens me disent que ce que je faisais, c’était du génie. Mais au sein des groupes, on ne me le disait pas, alors je n’en prenais pas conscience. »

A la fin du mouvement, chacun est retourné à sa place. Gina, elle, est devenue romancière. « J’étais dans la merde, alors je me suis dit que ce que je savais faire, c’était écrire. Je me suis mis dans les bouquins parce que plus personne ne voulait travailler avec moi dans la chanson. » Les compagnons de joies et de galères se montrent alors moins présents. « J’ai des nouvelles de certains. Manu (Chao), c’est plus compliqué. C’est une star mondiale. Je ne le vois plus. On s’est juste revus il y a quelques années. Il m’a sauté dans les bras. Il sait que si un jour il est dans la misère, il peut frapper à ma porte, il est le bienvenu », dit-elle entre ironie et sincérité.

En 2001, elle décide de tout plaquer. Fini Paris, bonjour Toulouse. Pour vivre, elle enchaîne les « boulots de prolos. Mais je suis une musicienne frustrée et je dois dire que Toulouse m’a réconciliée avec mon passé. »

 

« Je reprends la route que j’avais abandonnée »

Alors, celle qui assume totalement son côté « mégalo » a repris sa carrière artistique en main. « J’aime la scène, prendre le micro. » Avec ses acolytes pianistes que sont Daniel Masson et Jérôme Vaccari, elle retrouve un public multi générationnel dans des concerts mêlant chansons et anecdotes. « Je suis provoc’ mais pas trash. J’ai envie de balancer de l’amour et de la tendresse. J’essaye de dire les choses drôlement. »

Elle qui était habituée à programmer ses concerts quinze jours à l’avance, planifie son agenda jusque 2011 et ne boude pas son plaisir. « En concert, on part à trois dans la 106. On revient chacun avec 160 euros net dans les poches. C’est bien. Je reprends la route que j’avais abandonnée. Avec le temps, je me dis que c’est mieux d’être une artiste mâture. Oui, en fait c’est un métier pour les vieux. Pour rien au monde je reviendrai à mes 20 ans ! Quand on est jeune, il nous arrive des merdes mais on recommence quand même. »

Et elle sait de quoi elle parle. « C’est une délivrance pour moi de vieillir. C’est juste dommage que les mecs de ma génération soient aussi cons. A mon âge, je gère mon business moi-même, sans être dépendante des gros requins (les maisons de disques et les tourneurs, ndlr). Mais, j’ai des titres en téléchargement gratuit sur internet et ça me fout les boules. Par contre, les gens peuvent télécharger Manu Chao tant qu’ils le veulent ! »

 

Dates et infos : www.myspace.com/ginaleretour


Clip "Mala Vida", la Mano Negra
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13 août 2009 4 13 /08 /août /2009 16:08
Sujet réalisé le 10 juillet 2009, Théatre Verdière, Francofolies
Images: Yann Rineau
Montage: Anne Rennesson
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31 juillet 2009 5 31 /07 /juillet /2009 08:47
Interview réalisée le 13 juillet 2009, scène de La Motte Rouge, La Rochelle
Images: Yann Rineau
Montage: Anne Rennesson

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28 juillet 2009 2 28 /07 /juillet /2009 09:55

Sujet réalisé le 12 juillet 2009, scène de La Motte Rouge, La Rochelle
Images: Yann Rineau
Montage: Anne Rennesson

Ben Mazué a remporté le Prix-Partenaires.

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26 juillet 2009 7 26 /07 /juillet /2009 16:25
Reportage réalisé le 12 juillet 2009 au stand Cultura et au port de La Rochelle, Les Francofolies
Images: Yann Rineau (Morgane Prod)
Montage: Anne Rennesson

Elie Guillou a réalisé une tournée à pied d'un mois (5 mai-3 juin 2009) et de 600 km ralliant Paris à Brest en faisant un concert par jour dans chaque ville étape.
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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 08:38
Sujet réalisé le 11 juillet 2009, scène Saint-Jean d'Acre, les Francofolies de La Rochelle.
Images: Morgane Prod

Sommaire:
-Renan Luce se prépare
-Hier soir aux Francos: Julien Doré
-Mathias fête Olivia
-Yvan Le Bolloc'h joue au journaliste

-Charlie Winston met le feu (à partir de 7 minutes et 24 secondes)

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18 juillet 2009 6 18 /07 /juillet /2009 07:32
Sujet réalisé le 11 juillet 2009, scène de La Motte Rouge, les Francofolies de La Rochelle.
Images : Yann Rineau (Morgane Prod)
Montage: Anne Rennesson

« Le prince Miaou », c'est à l'origine un conte perse. Le i supplémentaire, c'est pour le copyright ! 2007 voit la sortie de son premier album titré "nécessité microscopique !". D'une scène à l'autre elle fait ses premiers pas et vient de boucler un 2ème album "Safety First".
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17 juillet 2009 5 17 /07 /juillet /2009 08:35
Sujet réalisé les 10 et 11 juillet 2009, Scène de La Motte Rouge et Théâtre Verdière, Les Francofolies de La Rochelle.
Images: Yann Rineau (Morgane Prod)
Montage: Anne Rennesson

Le Prix Adami récompense les jeunes talents issus du Chantier des Francos, artistes émergents qui se produisent sur la scène du Théâtre Verdière pendant toute la durée du Festival. Cette année, c'est Buridane qui remporte le Prix.

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16 juillet 2009 4 16 /07 /juillet /2009 12:25
Sujet réalisé le 14 juillet 2009 à la scène de La Motte Rouge, Les Francofolies de La Rochelle.
Images: Morgane Prod

Sommaire:
-Anis, Manu Larrouy et Missil
-Zebra Dance
-Ambiance Cocoon (à partir de 2 minutes et 48 secondes)
-Ayo, hier soir
-Birdy Nam Nam met le feu sur France 4

Diffusé entre les concerts sur la grande scène.

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